Everything everything

Everything, everything

Le plus grand risque dans la vie, c'est de ne pas en prendre. « "Everything, everything" est vraiment TOUT : puissant, charmant, déchirant, et si prenant que je l'ai dévoré d'une traite. L'un des rares romans qui vous élèvent, vous brisent et vous nourrissent en même temps. » Jennifer Niven, auteur de "Tous nos jours parfaits" Ma maladie est aussi rare que célèbre, mais vous la connaissez sans doute sous le nom de « maladie de l'enfant-bulle ». En gros, je suis allergique au monde. Je viens d'avoir dix-huit ans, et je n'ai jamais mis un pied dehors. Un jour, un camion de déménagement arrive. Je regarde par la fenêtre et je le vois. Le fils des nouveaux voisins est grand, mince et habillé tout en noir. Il remarque que je l'observe, et nos yeux se croisent pour la première fois. Dans la vie, on ne peut pas tout prévoir, mais on peut prévoir certaines choses. Par exemple, je vais certainement tomber amoureuse de lui. Et ce sera certainement un désastre.

Une romance liée au confinement et à la bonne santé.

L'héroïne est atteinte d'une maladie orpheline qui la contraint à rester complètement coupée de l'extérieur de sa maison.

La rencontre avec le sexe opposé lui donnera envie de sortir de sa zone de confort et des obligations sanitaires, et de se frotter, dans des limites raisonnables, à l'amour ; elle se donnera l'occasion, une fois n'est pas coutume, d'être une ado comme les autres.

Un récit forcément touchant où l'on s'attend un peu à une fin romanesque et tragique à l'identique des "Etoiles Contraires" de John Green. C'est forcément aussi un peu philosophique, "la vie vaut-elle dans une survie seule ?". Grande question...

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